Double assassinat dans la rue Morgue/Marginalia@Anthea

Baudelaire disait de la poésie d’Edgar Poe qu’elle était « quelque chose de profond et de miroitant comme le rêve, de mystérieux et de parfait comme le cristal » et qualifiait l’auteur de « vaste génie, profond comme le ciel et l’enfer ». C’est cet envoûtement, « ces ombres d’ombres », cette précision diabolique et pure de l’esprit qui nous a portés dans ce Double assassinat dans la rue Morgue. Gaële Boghossian

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