Vallée de Merveille

Erster Tag: Am Montag 17 Juni wachten wir früh auf, um uns bereit zu machen. An diesem Morgen wussten wir alle, dass ein strengen Tag vor uns steht. Um 9 standen die Homescholers Unten am Berg. In den ersten fünf Minuten haben wir uns schon verirrt, außer die Müter die wir nach einer Ewigkeit wieder gefunden haben . Auf dem Weg nach oben machten wir viele Pausen um Murmeltiere und Gämse zu beobachten. Bis wir endlich oben waren, hatte es mehr alls 3 stunden gedauert. An der Spize des Berges assen wir unseren pic Nick und spielten. Wir guckten zum See herunter und sahen unsere Alphütte. Schnell rannten wir zu dem Haus. Auf dem Weg verlor ich einen Schuh denn ich war barfuß. Zum Glück hab ich in wieder gefunden!!! Später nach dem wir unser Massenlager bezogen haben, gingen alle zum See, einige wagten sich ins Eis kalte Wasser zu springen. Außer den Kinder gingen nur zwei oder drei erwachsene rein. Nachdem baden waren alle müde und ruhten ein bisschen aus , später aßen wir ein leckeres Alpen Menu im Speisesaal. Denn Rest des Abends verbrachten wir mit spielen. Um neun gingen fast alle ins Bett. Bis ich richtig einschlief war es aber sicher schon 12 Uhr oder später. Und so edete der erste Tag.? …/ Elena

 
Deuxième journée: Après une nuit blanche, passée à regarder gesticuler Valentin et à écouter des locomotives à vapeur (les ronfleurs), nous nous retrouvons au petit déjeuner. Au menu, du pain dur avec des confitures et du chocolat chaud, un vrai brunch français pour reprendre des forces. À 9 heures, Thierry le guide arrive. Il a escaladé la montagne en 1 heure et demie, alors qu’hier, nous avions mis 4 heures.
Nous commençons la randonnée tranquillement. Les une heure de marche que nous avions descendue hier, nous devons les gravir aujourd’hui. Mais nous nous arrêtons entre 10 et 30 minutes à chaque gravure importante, donc nous aurons 6 heures à grimper.
Il y a 40 000 gravures reparties sur deux sites. Nous étions sur celui des merveilles, il compte 17 000 gravures environ.
Sans Thierry, nous n’aurions pas pu sortir du chemin pour contempler les gravures protohistoriques (période entre la préhistoire et l’histoire). Les artistes ont choisi des pierres rouges bien lisses pour graver des corniformes, des poignards et des réticulées.
Les corniformes, c’est-à-dire des taureaux, boeufs ou vaches.
Ils sont identifiés par une forme géométrique (carré, triangle, rectangle, simple ligne épaisse…) de laquelle émergent deux cornes plus ou moins travaillées. Très rarement des appendices supplémentaires peuvent évoquer la queue, les pattes, la tête de l’animal.
Les figures cordiformes représentent 46% du total des gravures et même 79% si l’on ne tient compte que des gravures représentatives.
Sur les 13 399 corniformes 1167 sont attelés et 12 232 ne le sont pas.
Les figures géométriques ou réticulées:
On distingue 3 types principaux de gravures dans cette catégorie : les figures simples rayonnantes (soleil, croix…), les fermées (cercles, rectangles) et les réticulées (formes quadrillées). Ces derniers, les plus nombreux, représentent probablement des parcelles de champs parfois traversées d’un chemin ou d’un cours d’eau…
Les figures géométriques représentent 7% du total des gravures et 12,5% si l’on ne tient compte que des gravures représentatives.
Les armes et outils:
Les armes et outils sont constitués principalement d’hallebardes et de poignards. Ces derniers, majoritaires, se reconnaissent à la forme triangulaire de la lame et à la poignée généralement plus courte. Les hallebardes sont formées d’une lame positionnée perpendiculairement à un long manche.
Ce sont les armes, en particulier les poignards, qui ont permis de dater les gravures en les comparant avec des armes réellement retrouvées.
Les figures d’armes et d’outils représentent 4% du total des gravures et 7,2% si l’on ne tient compte que des gravures représentatives.
On ne trouve les poignards que dans la vallée des merveilles.

Nous arrivons enfin au sommet. Le guide nous quitte, car il doit courir pour ne pas rater sa fille à l’école. Mais une partie du groupe essaye de le suivre. Nous utilisons nos dernières forces pour le rattraper à la fin et arrivons avant lui. En rentrant je m’endors presque dans la voiture. …/ Max

Leave a Reply