Visité Anthea

 

Depuis trois ans, grâce à notre association de l’école buissonnière, nous assistons à des représentations scolaires à Anthea. Ce théâtre d’Antibes, ville fonder par les Grecs qui sont à l’origine du, est le premier théâtre du PACA avec plus de 12 000 abonnés et 120 000 spectateurs. Ce sont Patrick Tavernier et Blandine Roche qui se sont inspirés du Fort Carré pour construire ses 9200m2 de bâtiment contemporain. Cette fois si nous avons visité le théâtre et avons pu aller dans des endroits interdits au public. Les deux salles d’Anthea tiennent leurs noms de Jacques Audiberti, un écrivain poète et de Pierre Vaneck, un comédien, tous les deux nées à Antibes. Nous commençons la visite à la régie de la grande salle, où les maternelles d’Antibes révisent leurs spectacles qu’ils joueront ce soir. Il y la régit de la lumière et du son. Avant, pour être régisseur, il fallait avoir des connaissances en électricité, car il y avait beaucoup de câbles, maintenant il y en a plus que deux, et tout se joue numériquement. Nous allons ensuite nous installer à l’orchestre. À l’époque, c’était les anciens marins qui s’occupaient du théâtre. Les avaient des techniques pour hisser les rideaux comme on hisse les voiles, ils savaient faire des noeuds efficaces et ils ont créée le “côté cour“ “côté jardin“. Les navigateurs utilisent “bâbord“ “tribord“. À l’époque, il y avait un seul théâtre en France, la Comédie-Française. À partir de 1770, la troupe était installée dans la salle des Machines du palais des Tuileries : la salle donnait effectivement d’un côté sur la cour du Louvre à droite de la scène vue de la salle, et de l’autre sur le jardin des Tuileries à gauche.
Nous nous sommes ensuite rendus au balcon pour apprendre comment connaître notre place avec le billet. Nous nous sommes posé la question: où sont les meilleures places? Mais ça dépends! pour un opéra il vaut mieux être reculé, pour des mimiques, plus proche. Depuis les loges on ne voit presque rien. Lors de la construction d’Anthea, on voulait mettre des panneaux solaires. Mais comme le budget était écoulé, ils ont dû y renoncer. Les autocollants que l’on trouve en haut sur les grandes baies vitrées extérieures servent à empêcher les oiseux de s’y cogner et quand les rayons du soleil arrivent sur la vitre, des dessins se forment sur le sol. Au quatrième étage on trouve les loges des artistes. Le mobilier est mobile, s’il y a une compagnie de dance, on aligne les meubles contre le mur pour qu’ils aient la place pour s’entrainer. On trouve aussi une buanderie. Grâce au mélange eau et Vodka, on peut nettoyer les vêtements inlassables.
Attention au vertige! À 18 mètres au-dessus de la scène, nous avons emprunté les passerelles. Il y a trois niveaux de passerelle et nous étions sur celle du milieu. Au 5e étage on trouve un bar, où l’on peut parler avec les artistes avant et après les spectacles. Il y a aussi un piano à disposition des spectateurs.

Nous descendons ensuite dans la petite salle. Sur les plans, la scène avait la même taille que s’elle de la grande salle, car elle devait servir de scène de répétition. Mais on s’est rendu compte qu’il fallait deux salles, et on a rajouté des sièges. Pour finir, nous nous visitons dans les coulisses où nous avons reconnu des décors de pièces vues auparavant. …/Max

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